Veuillez trouver ci-après le communiqué de presse qui annonce l'ouverture du site https://www.asc-loisirs-emploidomicile.fr/accueil
Qu'est-ce que c'est ?
Vous pourrez, via ce site, profiter d'offres de voyages, de culture, de sports et de loisirs à tarif préférentiel.
Pour qui ?
Pour tous les salariés de l'emploi à domicile.
Comment ?
Suivez le lien, et inscrivez-vous dans la rubrique "première connexion" à l'aide de votre numéro pajemploi. Une fois le compte créé, vous pouvez accéder aux offres proposées. Compte-tenu du contexte sanitaire particulier, en attendant la réouverture des lieux culturels et de loisirs, vous profitez des à présent d'offres près de chez vous pour vous divertir (réductions dans certains commerces, coffrets, cartes cadeaux, cours et ateliers créatifs...)
Plus d'information à travers le communiqué de presse : https://www.csafam.fr/uploads/files/ssv-CP_ASC_25012021_vfinale.pdf
Veuillez retrouver ci-après le compte-rendu du rendez-vous téléphonique qui a eu lieu aujourd'hui, lundi 18 Janvier 2021, avec une personne de pajemploi, au cours duquel nous avons évoqué les différents dysfonctionnements.
Compte-rendu : https://www.csafam.fr/uploads/files/mp3-CR-rdv-tél-pajemploi-18012021.pdf
La CSAFAM a envoyé un courrier le 28 décembre dernier, dans lequel nous attirons l'attention de Pajemploi sur les dysfonctionnements rencontrés par les assistants maternels et leurs conséquences...
Voici le contenu du courrier :
"Suite aux modifications opérées sur le site Pajemploi pour les déclarations à compter du 1er janvier 2021, nous avons quelques observations à vous formuler.
➢ Les indemnités d’entretien et de repas ont été intégrées au salaire net imposable.
Ces indemnités sont en effet imposables mais uniquement si le salarié fait le choix de l’abattement forfaitaire, ce qui n’est pas le cas de tous.
Il convient de laisser le choix à chacun, choix qui ne peut pas être déterminé à l’avance ; ce n’est qu’au moment où l’on effectue sa déclaration que l’on choisit d’appliquer l’abattement forfaitaire ou le droit commun.
➢ Une case a été ajoutée, permettant d’informer des fins de contrat.
Seulement, vous ne différenciez pas s’il s’agit d’une rupture à l’initiative de l’employeur ou à l’initiative du salarié. Dans le 2ème cas, il n’y a pas d’indemnité de rupture due. Il en est de même pour le contrat ayant moins d’un an d’ancienneté.
Or, dès lors que la case « fin de contrat » est cochée, votre logiciel attend un montant de l’indemnité, il n’est pas possible d’y indiquer 0.
Nous attirons votre attention sur le fait que bon nombre de nos collègues ne vérifient pas les informations portées sur leurs bulletins de salaire.
Ils subiront de fait un préjudice si les informations que vous transmettez sont erronées.
De même, l’abattement forfaitaire est de 3 SMIC pour les journées d’accueil réel au-delà de 8 heures journalière.
Vous ne distinguez pas le nombre d’heures d’accueil par jour et le nombre de jours retenu est celui déclaré par l’employeur, soit le nombre de jours mensualisés (et non jours réels).
Le calcul de l’abattement que vous faites n’est donc pas correct.
Nous comprenons que vous souhaitez transmettre les informations de salaire au centre des impôts mais, en l’état, cela est préjudiciable pour toutes les remarques formulées plus haut.
En espérant que ce courrier ne restera pas, comme les précédents, lettre morte,
Nous vous prions d’agréer, Madame, nos respectueuses salutations.
Pour la CSAFAM,
Nathalie DIORÉ
Secrétaire confédérale"
Le courrier en version PDF : https://www.csafam.fr/uploads/files/hyz-Pajemploi-28122020.pdf
Position des organisations syndicales représentatives des assistants maternels et de la FEPEM concernant la loi ASAP - avant-projet d’ordonnance.
Nous adressons cette lettre à l’attention d’Adrien Taquet, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre des Solidarités et de la Santé, en charge des familles et de l’Enfance.
Lire le contenu de la lettre : https://www.csafam.fr/uploads/files/0qb-lettre-intersyndicale.pdf
Les organisations syndicales représentatives ont été consultées sur le projet de réforme des modes d’accueil de la petite enfance.
S’agissant des Assistant(e)s Maternel(le)s employées par des particuliers, les inquiétudes sont vives sur plusieurs points :
Le nombre d’enfants mineurs pouvant être accueillis simultanément par les professionnel(le)s, y compris leurs propres enfants est limité à 6, dont 4 maximum de moins de 3 ans.
Cette disposition du projet d’ordonnance reprend la jurisprudence administrative mais ne satisfait pas à la profession qui souhaite une prise en compte de l’autonomie des enfants de l’assistant(e) Maternel(le) dés l’âge de 11 ans pour pouvoir pleinement utiliser leur capacité d’accueil.
La possibilité d’administrer des médicaments ou des soins est également insuffisamment encadrée dans les textes. La responsabilité des Assistant(e)s Maternel(le)s pourrait être engagée en cas d’accident alors qu’aucune disposition de la réforme ne vient renforcer la formation et l’accompagnement à ce type de pratiques.
Nous souhaiterions également que sur ce point les hautes autorités de santé soient consultées.
La mention de la « maîtrise du français lu » dans l'agrément nous pose un double problème : qui va évaluer cette « maîtrise » et comment éviter que ce critère n’entraîne des discriminations ?
Enfin, nous déplorons que quasiment rien dans ce texte n’aille dans le sens d'une meilleure reconnaissance des droits des professionnel(le)s alors même qu'ils/elles restent en première ligne pour pallier les difficultés que connaissent les familles au quotidien.
Chacune des organisations va faire des propositions d’assouplissement et d’amélioration des textes, l’intersyndicale souhaitant que ces dernières fassent l’objet de réelles discussions avant la promulgation des ordonnances.
Version PDF du communiqué de presse : https://www.csafam.fr/uploads/files/0hg-cp-ordonnances-web.pdf
Comme évoqué et expliqué, en raison de la crise sanitaire, le congrès de la CSAFAM s'est tenu pour cette année 2020 à travers une conférence en ligne sur internet.
Durant le congrès, la CSAFAM a dressé le bilan de l’année écoulée, a procédé aux votes et répondu à toutes les questions que se posaient les adhérentes présentes.
Veuillez retrouver sur ce lien le compte-rendu écrit complet du congrès 2020 : https://www.csafam.fr/uploads/files/4e1-COMPTE-RENDU-CONGRES-2020.pdf
En complément, vous pouvez (re)visionner la vidéo REPLAY de ce congrès : https://www.csafam.fr/actu/video-replay-:-congr%C3%A8s-2020-de-la-csafam
Chers collègues,
Vous voudrez bien trouver ci-dessous le mail envoyé ce matin à monsieur Adrien TAQUET concernant les modalités de l’activité partielle. Nous ne manquerons pas de vous informer de la suite qui y sera donnée.
"Envoyé: lundi 23 novembre 2020 09:03
De : "Nathalie Dioré CSAFAM"
A : XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX
Objet : A l'attention de monsieur Taquet : réaction suite à la réactivation du dispositif d'activité partielle
Monsieur le ministre,
C'est avec surprise que nous avons appris, par voie de presse, les conditions de réactivation de l'activité partielle.
Vous nous avez convié à des visioconférences, nous aurions apprécié être avisé directement en tant que partenaire social.
Ensuite, c'est avec effarement que nous avons pris connaissance des conditions à remplir pour pouvoir bénéficier du dispositif.
Ainsi que nous ne cessons de vous en alerter, les ruptures de contrats vont pleuvoir chez les assistants maternels!
Pour rappel, il n'y a pas de procédure de licenciement pour notre profession, l'employeur n'ayant qu'à invoquer un retrait d'enfant, sans avoir aucun motif à donner à sa décision.
Ainsi, un parent employeur, lui même au chômage partiel parce que son entreprise a réduit son activité (car il n'y a pas que les métiers qui ne peuvent pas exercer leur activité en cette période qui sont au chômage partiel!) mettra fin au contrat de son assistant maternel... car lui verser 80% de son salaire et ne percevoir qu'un maximum de 65% du salaire habituel au titre du CMG ne sera pas financièrement acceptable pour lui.
Nous déplorons de ne pas avoir été plus consultés sur les modalités de cette activité partielle et sommes vraiment désappointés du mode d'information que vous utilisez.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le ministre, mes respectueuses salutations."
Communiqué en version PDF : https://www.csafam.fr/uploads/files/t7a-Mail-à-Adrien-Taquet---Activité-Partielle.pdf
COMPTE-RENDU DE LA VISIOCONFERENCE AVEC ADRIEN TAQUET (Secrétaire d'État en charge de l'Enfance et des Familles auprès du ministre des Solidarités et de la Santé)
Masques :
La commission des affaires sociales de la CNAF financera et distribuera 3 masques transparents aux professionnels exerçant en crèches, micro crèches et MAM, ces professionnels devant exercer masqués.
Activité partielle :
Le dispositif sera réactivé. Le confinement n’étant pas le même que celui du printemps, les modalités de mise en oeuvre ne seront pas les mêmes, on devrait en savoir plus d’ici la semaine prochaine.
Aides pour les crèches/MAM :
Une aide sera accordée jusqu’au 31 décembre par place inoccupée notamment dans les cas où un parent est cas contact ou si structure fermée.
Attestations :
Validation d’une attestation professionnelle unique pour les assistants maternels (mise en ligne sur notre site www.csafam.fr)
L’attestation scolaire pour l’accompagnement des enfants est en cours de validation.
Relations avec les PMI :
Certaines PMI n’autorisent pas aux assistants maternels de se retrouver à l’extérieur de leur domicile (promenade, parc…), alors que les RAM maintiennent leur activité, dans le respect de la distanciation et des gestes sanitaires, ceci afin d’éviter l’isolement des professionnels et favoriser la socialisation des enfants. Cette position est contraire aux ordonnances ministérielles, le ministère adressera un courrier aux Conseils Départementaux.
Impact de la crise sur les enfants :
C’est une préoccupation du ministre, la situation risque d’avoir un impact psychologique sur les enfants. La manière de mesurer cet impact doit être étudiée.
TÉLÉCHARGEMENT du Justificatif permanent de déplacement professionnel liée à l'accueil ou à la garde d'enfant
https://www.csafam.fr/uploads/files/how-justificatif_deplacement_professionnel.pdf
Compte-rendu en version PDF : https://www.csafam.fr/uploads/files/gim-compte-rendu-visio-du-18-novembre.pdf
SITUATION SANITAIRE
Chaque organisation s’exprime sur les difficultés, inquiétudes des assistants maternels. Des questions avaient été posées en amont de la réunion.
La FEPEM et la DGCS apportent des précisions.
La FEPEM
Lors du 1er confinement, la FEPEM demandait à ce que les masques pour les assistants maternels soient distribués par les PMI. Suite aux arbitrages qui n’ont pas été dans ce sens, la FEPEM informe les employeurs qu’il leur appartient de fournir les masques, les incitent à le porter en présence des professionnels
La FEPEM n’est pas contre une réactivation du dispositif d’activité partielle, mais souhaite que son recours soit limité car le secteur doit maintenir son activité. Elle rappelle aussi qu’il n’y a pas de cotisations sociales prélevées sur l’activité partielle et que cela aura un impact sur le secteur.
Avec l’UNAF, la FEPEM travaille sur un guide à destination des parents. Une attestation unique et permanente à destination des parents et des professionnels est également en préparation. Elle devra encore être validée par les ministères pour être diffusée.
La DGCS
A cette heure, la réactivation de l’activité partielle pour le secteur est cours d’arbitrage. Les absences non médicalement justifiées donnent lieu à maintien du salaire.
La DGCS confirme la volonté de proposer une attestation de déplacement unique et permanente qui serait utilisée aussi bien pour les promenades, se rendre au RAM, à l’école…
Des arbitrages sont en cours concernant la prise en charge des personnes vulnérables.
Le port du masque pour les enfants de moins de 6 ans est recommandé, mais n’est obligatoire que dans le milieu scolaire.
De même, il est recommandé aux personnes présentes au domicile de l’assistant maternel de porter le masque en présence des enfants accueillis, ne serait-ce que pour se protéger eux-mêmes, mais qu’il n’y a pas d’obligation.
Des délais supplémentaires pour le renouvellement d’agrément devraient être donnés. Les
visites de la PMI sont toujours possibles ; il convient bien entendu que la puéricultrice
respecte les gestes barrières.
Les activités au RAM sont maintenues, c’est important pour rompre l’isolement des
assistants maternels. De même, il n’est pas interdit de retrouver des collègues à l’extérieur,
tant que le groupe reste restreint.
Les formations en cours doivent se poursuivre. Si un département avait stoppé une
formation, il faut le faire remonter à la DGCS.
L’accueil d’enfant(s) au-delà du nombre autorisé par l’agrément devrait de nouveau être
possible. Ce pourrait être 6 enfants comme lors du 1er confinement, ou bien 1 enfant de plus
que le nombre indiqué sur l’agrément. Il est rappelé que cela reste le choix du professionnel
qui n’est pas tenu d’accepter une demande d’accueil s’il ne le souhaite pas.
Nous faisons remarquer que même ceux qui ont accueilli au-delà de leur agrément durant le
1er confinement n’ont eu aucune reconnaissance (prime) et ne sommes donc pas favorables au
retour de ce dispositif qui impacte nécessairement sur la santé de l’assistant maternel.
ACTUALITES
L’arrêté relatif aux conditions du 1er renouvellement de l’agrément est finalisé pour la DGCS.
Les organisations seront une dernière fois consultées sur sa rédaction.
Le projet de loi ASAP a été adopté.
Une ordonnance doit être rapidement présentée et les organisations seront là encore
consultées notamment sur la simplification du décompte d’enfants (relatif aux 6 mineurs
présents simultanément au domicile de l’assistant maternel) et la possibilité d’accueillir de
façon exceptionnelle un enfant supplémentaire.
Lire le compte-rendu en version PDF : https://www.csafam.fr/uploads/files/8zn-COMMUNIQUE-DU-5-NOVEMBRE.pdf
Face à la crise sanitaire sans précédent et à la circulation active du virus qui évolue à une vitesse inattendue, le Président de la République a annoncé mercredi soir le retour du confinement en France.
Suite aux problématiques de la première vague, le gouvernement a adapté les règles du confinement sur plusieurs points. Le décret du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie, précise l’ensemble des modalités applicables concernant la continuité de l’accueil du jeune enfant et de la protection de l’enfance. Adrien Taquet, secrétaire d’Etat chargé de l’enfance et des familles, nous transmet un communiqué à ce propos.
Lire le communiqué : https://www.csafam.fr/uploads/files/pea-CP-Covid-19_-Continuite-de-l'accueil-et-protection-de-l'enfance.pdf
Bien que le confinement national entre en vigueur à compter du 30 octobre 2020 l’ensemble des modes d’accueil des jeunes enfants, par exception, maintiennent leur activité essentielle à la vie de la nation en application du décret du 30 octobre 2020. L’objectif poursuivi est un maintien des capacités d’accueil pour que chaque parent et chaque enfant puisse trouver une solution adaptée à ses besoins.
Ce maintien de leur activité s’accompagne d’un renforcement des consignes sanitaires, pour mieux faire face à l’épidémie de Covid-19.
Lire le guide actualisé des consignes pour les modes d'accueil du jeune enfant durant le confinement : https://www.csafam.fr/uploads/files/b2f-Covid19-Modes-d'accueil-du-jeune-enfant-au-30-10-20.pdf
Un guide ministériel devrait être édité dans les jours qui viennent.